Commercialisés sous plusieurs formats, les papiers sont utilisés au quotidien. Qu’il s’agisse d’une procédure de délivrance du droit de propriété intellectuelle, un contrat de travail entre l’employeur et le salarié, une lettre à pôle emploi, l’élaboration des factures commerciales ou la gestion sanitaire en entreprise, ces outils sont indispensables dans de nombreux secteurs d’activité. Chaque format fait objet d’homologation pour une utilisation conventionnelle. Lesquelles ? La réponse dans cet article.
Usage des papiers de type A
Dans cette catégorie, on retrouve 03 différents formats. Le premier modèle A0 est celui qui possède les plus grandes dimensions. Il n’est pas recommandé pour un contrat. À l’issue d’un audit, on constate que ce papier convient aux projets techniques nécessitant une grande page. Les modèles A1 et A2 ont aussi les mêmes usages. Souvent en rupture de stock, ils servent de support à la conception des affiches, à l’impression des photos, des calendriers, des cartes géographiques, etc. Les formats A3 et A4 sont fréquemment utilisés par bon nombre de personnes pour la signature d’un contrat. Conçus pour les imprimantes, ils sont caractérisés par un faible taux de rupture.
On les retrouve généralement dans tous les bureaux d’une entreprise et leur utilisation portent sur la photocopie ou l’impression de plusieurs documents telle que la lettre administrative, le contrat de travail de chaque employé, les factures, le contrat les formulaires d’inscription, etc. Pour les blocs-notes, le format A5 est très utilisé puisqu’ils prennent moins de place et conviennent aux notes personnelles. Les papiers A6, A7 et A8 en revanche sont respectivement destinées à l’envoient des cartes postales des lieux de vacances, la fabrication des calendriers de poche, la mise en oeuvre des cartes de visite pour une entreprise ou les cartes de fidélité.
Usage des papiers de type B
Cette gamme est homologuée par le code ISO 216. Elle se compose des feuilles de papier caractérisées par un faible taux de rupture en présence de la lumière ou en contact avec les produits chimiques. Il en existe une trentaine de formats en raison de leur surface un peu plus large. Les états membres de l’Union européenne en font l’usage pour élaborer les différents documents de droit civil, faire une proposition concernant les mesures de gestion sanitaire, expliquer l’état des lieux d’une situation ou d’un phénomène, etc. Son utilisation conventionnelle par les institutions gouvernementales/militaires est essentielle pour la protection des données. Les organisations médicales et financières l’utilisent également dans la procédure d’archivage des données qui peuvent facilement se détruire.
Usage des papiers de type C
Ses différents formats s’utilisent pour imprimer les affiches commerciales. Les dimensions sont aussi fixées par convention dans le code ISO 216. Un audit permet de découvrir que l’utilisation d’une petite police est recommandée pour le papier de catégorie C. Les trois formats C0, C1 et C2, C3, C4, C5 se distinguent par la taille des trous perforés et leurs positions. L’utilisation du C6 et du C7 permet de réaliser les cartes d’invitation. Il s’utilise aussi en entreprise par l’employeur ou le salarié. Ce papier ne peut être recyclé en raison du taux de rupture très élevé. En fonction du secteur d’activité, chaque catégorie de papier s’adapte à son usage et joue un rôle précis. Toutefois, vous avez le droit de casser les codes pour sortir un peu du schéma conventionnel imposé par la société.